Speedtail : une supercar hybride de 1050 ch, digne héritière de la McLaren P1

PHOTOS - Spécialiste des véhicules hautes performances à l’image de la mythique McLaren F1 produite entre 1993 et 1998 ou, plus récemment, de la supercar hybride rechargeable McLaren P1, le constructeur britannique vient de lever le voile sur la Speedtail. Une supercar dotée d’un design en forme de goutte d'eau et animée par une motorisation hybride de 1 050 ch.

Vingt-cinq ans après avoir marqué le monde des supercars avec sa mythique McLaren F1, le constructeur britannique n’en finit pas d’étonner. Aujourd’hui, il dévoile un nouveau concept de supercar hybride qui n’a rien à envier à ses prédécesseurs.

Animée par un bloc V8 4 litres biturbo de 800 ch couplé à un système électrique issu de la P1, la Speedtail développe une puissance combinée de 1 050 ch. Une cavalerie qui lui permet d’abattre le 0 à 300 km/h en 12,8 secondes pour une vitesse de pointe annoncée à 403 km/h. De quoi surpasser son illustre ainée McLaren P1 et ses 391 km/h.

Design inspiré d'une goutte d'eau

Esthétiquement, la McLaren Speedtail est dotée d’une carrosserie monocoque en fibre de carbone dans laquelle est intégré du titane. Un design dédié à la performance aérodynamique avec son profil en goutte d'eau et des lignes à la fois simples et fluides.

Longue de 5,14 m, la dernière création de McLaren est également équipée d’une poupe plongeante ainsi que d’une calandre fermée aux ouvertures minimalistes. Ses petits ailerons s'activent pour optimiser les appuis tandis que les roues avant pleines limitent les turbulences. Quant aux rétroviseurs externes, ils sont remplacés par des caméras qui pourront se rétracter en mode « Velocity ».

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À l’intérieur, on note l’installation d’une interface de pilotage en 5 écrans permanents, une console de pavillon inspirée de l’aviation ainsi qu’un cuir associé à la fibre de carbone et au titane. Le volant est quant à lui positionné en plein centre, dans un habitacle lumineux qui résulte d’une importante surface vitrée panoramique. Ce qui place le pilote entre deux passagers, légèrement assis en retrait. Bref « une pure fusion de la science et de l’art sous la forme d’une automobile », selon ingénieurs de la firme de Woking.

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