Lexus NX 300h : les prix du crossover hybride dévoilés (+ vidéo)

Publié le 04 juillet 2014 à 06h44 | Fabrice SPATH | 3 minutes

Doté d’une double motorisation hybride essence-électrique empruntée à la berline IS, le crossover Lexus NX 300h sera disponible dès septembre 2014 au prix de 39 590 euros

Dévoilé dans sa version de série au dernier salon automobile de Pékin, le crossover hybride Lexus NX 300h vient de révéler ses tarifs. Disponible en France dès septembre 2014, le NX 300h est commercialisé à partir de 39 590 euros, son bonus écologique étant neutre. Décliné en 7 finitions avec ou sans transmission intégrale, le SUV semble bien armé pour affronter les BMW X3 et autres Audi Q5 équipés de motorisations diesel.

 

Prix : à partir de 39 590 euros (bonus/malus neutre)

Très attendu, le NX 300h est un crossover hybride de taille intermédiaire qui emprunte sa motorisation à la berline IS 300h. Associant un moteur 4 cylindres 2,5l essence à un moteur électrique alimenté par une batterie logée sous le plancher du coffre arrière, le groupe motopropulseur développe une puissance cumulée de 197 ch (vs 223 ch pour la berline IS). Révélé sur l’édition 2013 du salon de Francfort et dévoilé dans sa robe de série au salon de Pékin en avril dernier, le Lexus NX repose sur la plateforme extrapolée de son cousin Toyota RAV4. Rappelons que Lexus n’est autre que la division premium du leader mondial de la technologie Hybrid Synergy Drive (HSD), une technologie adaptée et intégrée sur tous les modèles de la gamme. Le Lexus NX est disponible en 2 roues motrices (traction) ou 4 roues motrices – FWD ou AWD – avec deux motorisations : le groupe hybride précédemment cité ainsi qu’un groupe essence 4 cylindres 2.0l turbocompressé développant 238 ch.


Le Lexus NX 300h est un crossover hybride qui dispose de sérieux atouts pour affronter les stars du segment Audi Q5, BMW X3, Mercedes GLK et autres Volvo XC60

 

Une véritable alternative aux SUV allemands diéselisés ?

A 2 mois de sa commercialisation en France, Lexus lève le voile sur les finitions et les tarifs associés. Tandis que la version essence baptisée NX 200t n’est disponible qu’en 3 versions à partir de 50 890 euros (hors malus), la version à double motorisation essence-électrique est déclinée en 9 variantes dont voici les détails :

  • NX 300h 2WD : 39 590 euros
  • NX 300h 2WD Business : 40 590 euros
  • NX 300h 2WD Pack : 41 590 euros
  • NX 300h 2WD Pack Business : 43 590 euros
 
  • NX 300h 4WD Pack : 42 890 euros
  • NX 300h 4WD Pack Business : 44 890 euros
  • NX 300h 4WD Luxe : 48 890 euros
  • NX 300h 4WD F Sport : 55 890 euros
  • NX 300h 4WD Executive : 59 890 euros


Le Lexus NX 300h est donc disponible en 7 finitions déclinables en versions 2 roues (FWD) ou 4 roues motrices (AWD). Dans toutes les configurations, le crossover reçoit une boîte de vitesses automatique à variation continue de nouvelle génération appelée E-CVT. Côtés consommations et émissions, le constructeur avance une consommation mixte normalisée de 5,2l/100 km pour 120 g de CO2/km parcouru sur la variante 2 roues motrices (FWD). Sur la variante traction intégrale, la consommation passe à 5,4l et les émissions à 125 g. Dans tous les cas, le NX 300h bénéficie d’un bonus/malus neutre, dans la mesure où seuls les véhicules hybrides ne dépassant le seuil des 110 g sont éligibles au bonus maximal de 3 300 euros. Pour les entreprises, la taxe sur les véhicules de société (TVS) est de 480 euros sur la version FWD et 660 euros pour la version AWD. A titre de comparaison, le BMW X3 2.0d 190 ch xDrive (traction intégrale AWD) s’affiche à partir de 42 950 euros, hors malus de 250 euros. Pour la TVS, celle-ci s’élève à 748 euros/an. Côtés consommations, le BMW X3 affiche une moyenne de 5,2l/100 km (cycle NEDC).

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Fabrice SPATH

Cofondateur du site, Fabrice roule en électrique la semaine et en hybride rechargeable le week-end. Après être passé par la case ingénierie chez des constructeurs et équipementiers outre-Rhin, il collabore régulièrement avec la rédaction et travaille au développement de la place de marché.



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