Concept LF-SA : la future citadine hybride de Lexus ? (+ photos)

Publié le 07 mars 2015 à 08h03 | Mathieu PARAIN | 2 minutes

Calandre avant en forme de sablier, flancs sculptés à la serpe, habitacle futuriste : le concept LF-SA est bien une Lexus

Au salon de Genève 2015, la division haut de gamme de Toyota a dévoilé la préfiguration de sa future citadine sous la forme d’un concept. Baptisé Lexus LF-SA Concept, la micro-citadine reposerait sur la plateforme de la Toyota Yaris et pourrait emprunter sa motorisation hybride.

 

Une citadine 2+2 au look atypique

A la mi-février, nous vous faisions l’écho d’une rumeur selon laquelle Lexus présenterait au salon automobile de Genève (du 5 au 15 mars 2015) une citadine proche de la Toyota Yaris. Finalement, la division premium de la firme de Nagoya y a dévoilé un concept aux dimensions plus proches de la défunte Toyota iQ que de la Yaris. Avec ses 3,4 mètres, le concept Lexus LF-SA est ainsi plus court de 40 cm que sa cousine et son habitacle 2+2 est proche de la configuration de l’iQ. Très original esthétiquement, cette micro-citadine 3 portes adopte les lignes taillées à la serpe des nouveaux modèles Lexus, dont le SUV NX 300h.

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Un groupe hybride essence-électrique ?

Calandre avant trapézoïdale, optiques acérés soulignés par des feux de jour en forme de boomerang et flancs travaillés : le concept LF-SA est bien une Lexus. Et l’habitacle est au diapason : planche de bord intégrant un écran digital façon hologramme, volant reprenant les formes de la face avant, affichage tête haute grand angle, … Ambiance Star Trek assurée à l’intérieur. Avec ses passages de roues surdimensionnés, le concept surfe également sur la tendance des petits crossovers. Si aucune date de commercialisation n’a été officialisée, 2018 est évoquée comme une date probable de mise en production. La future citadine de Lexus reprendrait la plateforme de la Yaris ainsi que sa motorisation hybride.

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Mathieu PARAIN

Passionné par les motorisations alternatives et attentif à l’impact des normes d’émissions sur le secteur automobile, Mathieu a débuté sa carrière de journaliste en Suisse avant de rejoindre la place de marché dédiée aux véhicules électriques et hybrides.



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